Le Blog de Christian de Saint Francois

Bonjour Christian             Je viens tous juste de terminer ton livre les ‘’Les Innocents’’, comme je te disais l’autre jour, c’est un bouquin ou l’on ne sent sort pas indemne, comme quand on sort du cinéma et que l’on se retrouve face à la dure et triste réalité. Un voyage en immersion dans le cerveau d’un innocent, un simplet comme on disait avant. Qui a vingt-cinq ou trente ans il se retrouve à la’ ’vérité’’ des adultes. Et là il se prend en pleine figure : La vie la maladie l’amour, la mort, le sexe, les prédateurs sexuel, la prostitution, les petits chefs despotes, les rapts d’enfants, l’immigration, les migrants ; c’est vrais que c’est beaucoup pour un innocent, (c’est peut ça qu’il le sauve du suicide, être innocent). En espérant que sa fuite au pays de ses origines le sauvera ???

Bonjour Christian Je viens de lire, (je devrai dire d é vor é ton livre TILIAN ET L ’ ANKOU TRISTE), j ’ ai du m è tre environ 1 h 30, ce petit bonhomme, pardon ce jeune gar ç on attachant, qui un jour rencontre l ’ Ankou, cela faisait longtemps que je voulais lire une l é gende druidique, donc cet Ankou, un ê tre entre la vie et la mort, qui a la triste besogne d ’ accompagner les d é funts dans l ’ autre monde, le Gardien du seuil chez les rosicruciens, l ’ ange de la mort dans d ’ autre traditions, dans la Kabbale H é bra ï que comme nous le r é v è le Robert Ambelain   : «  Lorsqu'un homme va quitter le monde, l' Ange   de la Mort appara î t pour conduire son   Âme   o ù elle doit aller...   » «  Ceux qui ont vu l' Ange   de la Mort disent qu'il poss è de des yeux le couvrant tout entier...   » ( Midrachim : Pesikta   4 Azra ë l , le nom de l'ange de la mort dans certaines traditions h é bra ï ques. Je ne sais pas si les drui

Prière du Matin de Saint François d'Assise : « Seigneur, dans le silence de ce jour naissant, je viens vous demander la paix, la sagesse et la force. Je veux regarder aujourd'hui le monde avec des yeux remplis d'amour ; être patient, compréhensif, doux et sage ; voir vos enfants au-delà des apparences, comme vous les voyez vous-même, et ainsi, ne voir que le bien en chacun. Fermez mes oreilles à toute calomnie, gardez ma langue de toute malveillance et que seules les pensées qui bénissent demeurent en mon esprit. Que je sois si bienveillant et si joyeux que tous ceux qui m'approchent sentent votre puissance et votre présence. Revêtez-moi de votre beauté, Seigneur, et qu'au long du jour je vous révèle. Ainsi soit-il. » Saint François d'Assise (1182-1226)