mercredi 16 décembre 2015

La cité idéale





La première fois que je fus confronté au mythe de la cité idéale ce fut dans une encyclopédie enfantine, qui portée le nom de ''L'homme dans le monde moderne''.

Je devais avoir une dizaine d'années.

Cette cité ce nommée Utopia, je me souviens vaguement d'un souverain qui distribuait les récoltes à ses sujets.

Plus tard, j’ai demandai à mon père, « C'est quoi la cité idéale ? Il m’a répondu d'un ton ironique, « C’est celle qui remplacera les machines de guerre en machines-outils ''. »

Dans l’adolescence, je me suis adonné à la science-fiction, il était souvent question de gouvernement mondial, dirigé par d'honorables vieillards à barbe blanche, qui n'avaient de cesses de se battre pour garder la paix.

D’autres, des espèces de savants fous, qui faisaient pousser des fruits et des légumes dans des laboratoires ou dans des capsules spatiales. (Tiens cela me fait penser aux OGM).

Apres je suis tombé sur le Saint-simonisme :



Le saint-simonisme est une doctrine socio-économique et politique, dont l'influence fut déterminante au XIXe siècle. Elle tient son nom de Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon (1760-1825). Le disciple ou partisan est qualifié de: « Saint-Simonien ». Elle peut être considérée comme la pensée fondatrice de la société industrielle française.
Pour en finir avec les révolutions des XVIIIe et XIXe siècles, les guerres, l'intolérance, l'égoïsme et l'ancien régime avec ses privilégiés, ses inégalités, ses injustices, son obscurantisme et son féodalisme, Saint-Simon propose un changement de société. Il préconise une société fraternelle dont les membres les plus compétents (industriels, scientifiques, artistes, intellectuels, ingénieurs…) auraient pour tâche d'administrer la France le plus économiquement possible, afin d'en faire un pays prospère, où régneraient l'esprit d'entreprise, l'intérêt général et le bien commun, la liberté, l'égalité et la paix.
Sous l'impulsion de l'un de ses principaux représentants, Barthélemy Prosper Enfantin, cette doctrine, au moment de son plus fort développement (vers 1830), prend la forme d'une secte.

A la fin des Années 70, il y avait dans le milieu syndicaliste le mouvement autogestionnaire.
Cité ''idéale dirigée par les citoyens ; et l'entreprise dirigée par les travailleurs.
Puis ce fut pour moi l'ésotérisme : Les Templiers avaient forgés le vaste projet d'une Europe gouvernée par des initiés, des sages, une sorte de Théocratie...
Il eut aussi la Synarchie : Que dit Wikipédia :



Etymologies


Le plus ancien usage connu du mot synarchie est attribué à Thomas Stackhouse (1677-1752), un homme de clergé anglais[1], dans New History of the Holy Bible from the Beginning of the World to the Establishment of Christianity.

La Synarchie selon Saint-Yves d’Alveydre


La Synarchie est une forme de gouvernement exposée par Saint-Yves d'Alveydre dans ses ouvrages, notamment La France vraie (1887).

Synarchie nationale


Autorité et Pouvoir


La Synarchie est une forme de gouvernement qui distingue l'autorité du pouvoir : ceux qui ont le pouvoir sont subordonnés à ceux qui ont l'Autorité.

Saint-Yves d'Alveydre distingue ainsi le pouvoir de l'autorité : « L'Autorité proprement dite n'appartient jamais à la force. La politique en est essentiellement dépourvue. Pour rendre plus sensible la différence du Pouvoir et de l'Autorité, je prendrai pour milieu d'observation la Famille. Le père exerce le Pouvoir sur ses fils, la mère et le grand-père l'Autorité. Dès que cette dernière, tout intellectuelle, toute morale, emploie directement la force, soit dans la Famille, soit dans la Société, elle se perd en se confondant avec le Pouvoir. »

Saint-Yves d'Alveydre applique cette distinction à la société :

  • L'autorité doit appartenir, selon lui, à un "Corps enseignant" réunissant toutes les institutions enseignantes du pays. Un Souverain Pontife doit être mis à la tête de ce corps enseignant. Il doit être désigné d'après ses mérites par le Corps enseignant et il ne dispose que de sa science et de l’estime générale pour asseoir son autorité.

Le chef de l’Exécutif et tous les fonctionnaires sont choisis par l'examen par le corps enseignant et lui restent subordonnés.

  • Dans ce type de gouvernement les trois fonctions essentielles de l'activité collective des sociétés : l’Enseignement, la Justice et l’Économie sont représentées par trois chambres sociales non politiques élues professionnellement au suffrage universel. Ces Chambres sociales élaborent les projets de loi.

À ces trois Chambres correspondent trois corps politiques qui ont pour tâche de promulguer et d'appliquer les lois préparées avec mandat impératif par les trois Chambres sociales. Les corps politiques ne peuvent promulguer que des lois préparées à l'avance par ces Chambres sociales.

État Social et État Politique


Selon Saint-Yves d'Alveydre, l'action politique d'un gouvernement sur un peuple ne peut s’exercer sans tenir compte de ce peuple : une loi politique constitutionnelle suppose donc une loi antérieure établissant l'organisation sociale des gouvernés. Il distingue ainsi


La Synarchie est l'alliance de ces deux Lois. Les « Conseils sociaux » agissent sur les « Conseils politiques du gouvernement » : l'Enseignement agit sur le Délibératif, le Juridique sur le Judiciaire, l'Ordre Economique sur l'Exécutif. Ensuite, les pouvoirs des gouvernants réagissent sur ceux des gouvernés, en leur rendant en acte ce qu'il en a reçu en puissance

La Synarchie


Pouvoirs électoraux Synarchique - État social

Dans la Synarchie de Saint-Yves d'Alveydre, tous les individus majeurs d'une même commune votent par foyer, chacun comme membre de son unité professionnelle : le candidat ne peut être élu que pour sa profession et pas en dehors, le suffrage est professionnel. Chacun vote pour trois candidats, afin de former le Collège électoral du département qui se divise en trois Pouvoirs sociaux. Le mandat du délégué est impératif et non représentatif : son mandat porte sur le contenu du cahier de vœux. Les collèges départementaux élisent des délégations dont l'ensemble constitue le Collège électoral central, les trois pouvoirs des Gouvernés :

Le Pouvoir de l'Enseignement rédige une première synthèse de cahiers impératifs concernant les cultes, ordres religieux, l'enseignement dans tous ses niveaux, la presse libre.

Le Pouvoir Juridique rédige une deuxième synthèse de cahiers impératifs concernant les métiers juridiques, l'administration, les municipalités, l'Armée, la Marine, la police.

Le Pouvoir Économique rédige une troisième synthèse de cahiers impératifs concernant les affaires financières et économiques.

Chaque électeur consignera ses vœux sur trois feuilles. La première feuille recueillera sa pensée sur toutes les questions concernant son culte, son Enseignement, et celui de ses enfants. La seconde enregistrera tous ses desiderata au sujet de l'administration de la Justice dans sa localité. La troisième aura trait aux questions économiques qui le touchent directement comme membre d'une profession. Chacune des trois feuilles individuelles ira au Collège départemental, Ordre par Ordre, et leur étude servira de base au cahier de l'Ordre. Les cahiers départementaux seront envoyés aux trois Conseils du Collège électoral central pour se fondre dans une synthèse nationale en trois cahiers. Ce Collège électoral central siégera tour à tour dans les villes importantes, en commençant par la capitale pour y revenir en fin. Les trois Conseils ne communiquent que par des commissions. Le vote est qualitatif par profession. Il n'est quantitatif qu'au premier degré dans chaque profession. Les discours sont interdits, à moins d'être notifiés à l'avance avec leurs conclusions, et strictement limités aux ordres du jour. Chaque profession ne pourra mandater que trois orateurs inscrits à l'avance sur son cahier. Ces trois Conseils sont constitués pour dix ans. Ses membres ne sont éligibles qu'une fois. (La France vraie, tome 2, chapitre 21, pages 345-349)


Pouvoirs législatifs synarchiques - État politique

Le Collège électoral central élit à vie un triple Conseil d'État législatif, spécialisé de la même manière, et qui légifère d'après les études préalables résumées dans les cahiers. Les trois Collèges sociaux élisent des commissaires chargés de les représenter auprès des Conseils d'État, et de veiller impérativement à ce qu'ils ne légifèrent pas en dehors des vœux des cahiers.

1° Conseil d'État Pouvoir législatif concernant les Cultes, l'Éducation, et l'Instruction publique. Sanction : Examen secret des candidats aux offices, honneurs, et grades. Contrôlé par les commissaires du premier Collège électoral.

2° Conseil d'État Pouvoir législatif concernant Justice, Guerre, Marine, Police, Affaires étrangères (excepté l’Instruction et les Cultes, ni les Traités de Commerce). Sanction : élection de l'Exécutif. Attribution des honneurs, offices, et grades, après examen par l'Autorité. Contrôlé par les commissaires du deuxième Collège électoral.

3° Conseil d'État Pouvoir législatif concernant Économie publique, Finances, Industrie, Agriculture, Commerce, et Main-d’œuvre, Marine marchande, Transports, Traités de commerce. Sanction : Vote du budget, administration des deniers publics. Contrôlé par les commissaires du troisième Collège électoral. (La France vraie, tome 2, chapitre 21, pages 349-350)


Gouvernement Synarchique

Des Conseils d'État sortiront trois ministères, dirigés par trois ministres aidés du nombre voulu de secrétaires d'État. Les trois ministres sont choisis à la suite d'une élection doublée d'un examen.

Premier ministère - Il représente tout le Pouvoir enseignant du Peuple. Son chef prendra le titre de Primat, avec les prérogatives de l'Autorité enseignante, désarmée de toute sanction autre que l'examen intellectuel et moral.

Deuxième ministère - Il représente tout le Pouvoir de Justice du Peuple. Son chef prendra le titre de Grand Justicier, avec les prérogatives du Pouvoir exécutif armé de toutes ses sanctions de force matérielle, sous l'Autorité du Primat, qui conserve le droit de grâce.

Troisième ministère - Il représente tout le Pouvoir Économique du Peuple, avec toutes les prérogatives de ce Pouvoir. Son chef prend le titre de Grand Économe. Il est assisté par des commissaires provenant non seulement du Conseil d'État Économique, mais aussi du Troisième Collège électoral. En effet, le Pouvoir Économique est l'Exécutif des Gouvernés.

Le Pouvoir temporel sera exercé par le Grand Justicier. Le deuxième Conseil d'État lui donnera deux assesseurs choisis à l'examen par le premier Conseil d'État.

Le ministère des Affaires étrangères sera remplacé par une Commanderie d'État divisée en trois directions. La première direction relèvera du Primat, et le mettra en rapport avec les institutions culturelles et enseignantes de chaque puissance par un envoyé spécial. La seconde direction relèvera du Grand Justicier. Elle le mettra en rapport avec les Chefs d'État étrangers et avec leurs ministères de la Guerre et de la Justice. La troisième direction relèvera du Grand Économe. Elle le mettra en rapport avec les ministères économiques de chaque puissance contractante par un envoyé remplissant les fonctions de Consul général. Ainsi, au lieu d'un ambassadeur par puissance, représentant une confusion de Pouvoirs, il y aura trois envoyés spéciaux répondant professionnellement aux exigences de la triple nature des relations entre pays. (La France vraie, tome 2, chapitre 21, pages 351-357)

Synarchie européenne


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Saint-Yves d'Alveydre traite de la Synarchie européenne dans son ouvrage « La Mission des Souverains ».

La synarchie de Saint-Yves et l’idée de complot


Pour promouvoir son système, Saint-Yves publie plusieurs ouvrages, tient des conférences, participe à la création d’un syndicat [réf. nécessaire], obtient des entretiens officiels avec des hommes politiques (Jules Grévy, Sadi Carnot [réf. nécessaire], etc.), etc. Il mène ainsi une campagne de propagande pour la diffusion de la Synarchie au grand jour.

Selon ses défenseurs, on ne peut donc pas utiliser la Synarchie de Saint-Yves pour justifier, même en théorie, le moindre complot, coup d’État ou révolution. L'idée de complot serait la négation de la Synarchie de Saint-Yves parce que celle-ci ne peut s’établir qu’au vu et au su de tous puisqu’elle est universelle. Tel est le sens premier que Saint-Yves lui donne dans La Mission des ouvriers l'association de tous : « Dans la Mission actuelle des Souverains, j'ai donné à ce Gouvernement nouveau ce nouveau nom : la Synarchie, comme qui dirait l'association de tous, le Totalisme, au lieu du Nihilisme. »





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Saint-Yves lui-même n’aurait jamais adhéré à une quelconque société secrète et n’en ayant fondé aucune.

La Synarchie, stratégie et coup d'état


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L'Ordre Martiniste Synarchique du XIXe siècle


En 1921, Victor Blanchard fonde l'Ordre Martiniste Synarchique, d'inspiration martiniste.

Années 1930-1940


Le terme de Synarchie a été beaucoup utilisé à la fin des années 1930 et surtout au début des années 1940, pour évoquer un complot, réel ou supposé, cherchant à imposer à la France un gouvernement technocratique. Ce thème apparaît dans des livres, journaux, notes personnelles et circulantes, etc. Divers groupes comme "Travail et Nation" et ceux cités ci-après pourraient être affiliés ou mis en relation avec la "Synarchie".

Les archives intérieures françaises pour la décennie trente n'ont été ouvertes qu'à partir de 1999, et ont conduit les historiens de l'après-guerre à une grande circonspection face à cette thèse.

Il faut cependant noter que dans son ouvrage "Le choix de la défaite", l'historienne Annie Lacroix-Riz redonne une certaine audience à cette thèse. Pour ce faire elle s'appuie sur de nombreuses archives qui sont aujourd'hui accessibles.

Le thème de la « Synarchie » sous le régime de Vichy


En mai 1941, le maréchal Pétain trouve sur son bureau une note secrète rédigée par le docteur Henri Martin, ex-dirigeant de la Cagoule qui dirige une officine de renseignements proche des autorités de Vichy. S'appuyant sur un mystérieux document, le « Pacte synarchiste révolutionnaire pour l'empire français », découvert peu de temps auparavant au domicile de l'industriel Jean Coutrot (qui s'est "suicidé" le 19 mai 1941), la note de Martin expose en détails les desseins d'un groupe secret, la Synarchie, qui aurait été à l'origine de la chute, le 13 décembre 1940, du premier gouvernement de Pierre Laval. Elle aurait été composée presque exclusivement de polytechniciens et d'inspecteurs des finances se réunissant dans un local appartenant à la banque Worms. Ces rencontres auraient été organisées par Gabriel Le Roy Ladurie. Leurs buts auraient été de faire échec à la révolution nationale mise en place par Pétain, contrôler l'industrie par le biais de groupes financiers internationaux et protéger les intérêts financiers. La note va circuler non seulement à Vichy, mais également à Washington, Londres et Berlin. En juillet, le « Rapport Chavin » présente le complot Synarchique comme une tentative du capitalisme international pour "assujettir les économies des différents pays à un contrôle unique et antidémocratique exercé par les groupes de la haute banque", confirmant grosso modo les dires d'Henri Martin, mais mettant à jour une organisation, le « Mouvement Synarchique d’empire » (M.S.E.), et des documents relatifs dont le « Pacte synarchiste révolutionnaire pour l'empire français ». Le rapport rapporte que La Cagoule (dont Henri Martin est ex-dirigeant) est le bras armé du CSAR, mué en MSR, Mouvement Social Révolutionnaire sous Vichy. Ce rapport circule a son tour dans les chancelleries.

Toujours en 1941, la presse collaborationniste de Paris, qui a eu vent de l'affaire, reproche à la Synarchie d'avoir voulu saboter les accords de l'entrevue de Montoire et d'être inféodée à la Grande-Bretagne et aux USA. Marcel Déat, directeur de l'Œuvre, s'en prend à l'amiral François Darlan (après le changement ministériel où il remplace Pierre-Étienne Flandin), responsable selon lui de l'éviction de Laval et évoque les liens entre plusieurs membres du cabinet Darlan et la banque Worms, dont Jacques Barnaud, François Lehideux, Jacques Benoist-Méchin, Yves Bouthillier et Pierre Pucheu. Ces hommes vont rester au pouvoir un an jusqu'au retour de Laval en avril 1942 .

Des liens auraient également été faits avec le groupe X-Crise, qui réunissait dans les années 1930 des Polytechniciens de tous horizons politiques intéressés par les questions de société, dont Jacques Barnaud, Louis Vallon, Pierre Pucheu, Jules Moch et Jean Coutrot. La banque Worms recrutera dans ce milieu .

Pour Annie Lacroix-Riz les synarques n'avaient pas pour but de ruiner la "Révolution nationale" du Maréchal Pétain mais représentaient les intérêts de groupes financiers, et d'organismes patronaux liés à des groupes ou organismes allemands qui souhaitaient comme leurs homologues d'outre-Rhin l'instauration d'un régime fasciste

Le document «Pacte synarchiste révolutionnaire pour l'empire français»


Le «Pacte synarchiste révolutionnaire pour l'empire français» est un document politique rédigé sous forme de pacte comportant 598 propositions articulées autour de 13 principes fondamentaux [9] destiné à amener un nouveau système politique. Il a été publié intégralement dans les ouvrages de Geoffroy de Charnay/Raoul Husson, Synarchie, panorama de 25 années d’activités occultes, en 1946 ainsi que dans les Documents politiques et financiers de Roger Mennevée et par A.G. Michel, dans la réédition de 2007 de Mondialisme maçonnique. L'organisation "Mouvement synarchique d’empire", aurait été fondée en 1922 selon le « Pacte synarchiste révolutionnaire pour l'empire français », mais n'aurait pu avoir d’existence que sur le papier [réf. nécessaire]. Ce texte serait très éloigné des conceptions synarchiques de Saint-Yves. À la lecture de ses articles, il réduit considérablement le pouvoir du peuple : «159 : Le Peuple, éternel souverain mineur, doit à cette fin de contrôle être pourvu des moyens constitutionnels d’en appeler de l'anarchie d’en-haut sans avoir à recourir à l’anarchie d’en-bas. 160 : L’instrument synarchique de ce recours légal à lui-même est, pour le Peuple, l’Assemblée de ses représentants, élus au suffrage universel».

La Synarchie à la Libération


En 1944, les Renseignements Généraux incluent dans la Synarchie certains Gaullistes, Radicaux ou résistants ralliés au Général de Gaulle, dont Gaston Palewski, Henri Frenay, Louis Joxe et le colonel Passy .

À la Libération, la Synarchie est désignée par certains résistants comme la cause de la défaite de l’Armée française en 1940[10]. En outre, cette défaite aurait été préparée de longue date pour amener le maréchal Pétain et sa Révolution nationale au pouvoir .

Comme l'indique le titre de l'ouvrage d'Annie Lacroix-Riz, la thèse qu'elle défend en s'appuyant sur les archives récemment ouvertes est bien qu'une partie des élites françaises ait mis en application le slogan bien connu "plutôt Hitler que le Front populaire ".

Après la Libération, la presse communiste affirmera que la Synarchie, désignée comme organisation "réactionnaire et fasciste", avait infiltré la Résistance afin de permettre aux vaincus de conserver leur influence en coulisse et de se soustraire au châtiment malgré leur forfaiture.

Évocations contemporaines de la synarchie


Selon A.G. Michel, le «Pacte synarchiste révolutionnaire pour l'empire français» fut rédigé en 1936 et est devenu un agenda politique réel à partir de 1945 à la conférence de Yalta. Ses mots d'ordres seraient ceux qu'ont propagés en France la franc-maçonnerie laïciste et socialiste du Grand Orient de France, tels que l'on peut en faire la synthèse en prenant connaissance des textes publiés lors de leur convents[13].

Le résistant Pierre de Villemarest désigne l'identité foncièrement semblable de phénomènes comme la Nouvelle politique économique (NEP) en URSS, le fascisme en Italie, le nazisme en Allemagne, le New deal aux États-Unis et la révolution nationale en France comme des phénomènes voulu et provoqués simultanément par une organisation nommée Synarchie, sans doute liées à des hautes loges de type maçonnique d'obédience martiniste[14]. [Voir aussi: l'Ordre Martiniste Synarchique, fondé par Victor Blanchard en 1920 dans l'article Martinisme]

Roger Mennevée estime que la synarchie était un centre de décision unique et mondial, une des « forces occultes qui mènent le monde ». Selon lui, il y aurait le pôle P (protestant) dirigé par des anglo-saxons et des nordiques, le pôle c/s (catholico-synarchiste) réunissant les intérêts financiers concentrées autour de l’Eglise et le pôle C (communiste) tendant à déposséder les deux premiers de leur prédominance.





  • Christianopolis.

Johann Valentin Andreae 1586-1654

Écrivain allemand de la prose, poète, théologien.

Un théologien luthérien influent, un écrivain prolifique, et un champion de l'application pratique des principes chrétiens, Johann Valentin Andreae mieux exprimé sa passion pour la réforme éducative et sociale dans son travail utopique Christianopolis (1619). Bien que l'influence de la ville de Tommaso Campanella du Soleil (1602) et Sir Thomas Utopie de Thomas More (1516), la vision utopique d’Andreae est unique dans sa synthèse de la science et les idéaux chrétiens comme des éléments de l'ordre social. L'accent mis dans Christianopolis sur la création d'un système éclairé de l'apprentissage reflète la préoccupation de Andreae sur les pratiques éducatives oppressions de son temps, et la présentation d'une structure de ville orientée vers la production ordonnée des produits alimentaires et présageait des techniques de planification urbaine moderne. Parce que le travail n'a pas été traduit de l'original latin jusqu'au XVIIIe siècle, Christianopolis reçu moins de reconnaissance que les œuvres de plus en Campanella. Christianopolis, cependant, a été lu par les contemporains intellectuels de Andreae et est soupçonné d'avoir influencé la Nouvelle Atlantide de Francis Bacon ( 1627). Les savants modernes louent le style de prose de Andreae et considèrent les Christianopolis d'être un exemple vivant de la philosophie utopique du XVIIe siècle.































A la fin des années 60, certains mouvements prônaient une société sans armé, (pour ne pas être tenté à faire la guerre.)





Il y n'a même qui sont partit au Katmandou, et qui non trouvés que des paradis artificiels.







A mon humble avis, la cité idéale c'est celle qui ferrer tout pour garder la Paix Profonde...

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