MON SANCTUM CÉLESTE



MON SANCTUM CÉLESTE

J’ai approché la Cathédrale d’écrite dans le livre de Mr Raymond Bernard, (Messages du Sanctum Céleste).                                                 
J’ai  pu admirer Ses sculptures Templières, mais jamais je n’ai pu y pénétrer.
J’ai approché la pyramide qui flotte dans l’espace intersidéral, mais une fois la porte passée,
Retour au monde réel.
            Par contre la chapelle du style des villages Haut Alpins, avec son toit en ardoise,
Descendant à moins de 2 mètre du sol, son clocher, et sa façade de pierres.
    Je pousse la lourde porte de bois dépolie et craquelée par les intempéries, je pénètre dans
une alcôve très sombre, au bout de mon bras une poignée, soudain un léger grincement,
soudain la porte s’ouvre, je suis éblouie par la lumière, la fraicheur des pierres me fais
frissonner, l’odeur chaude des cierges emplie mes narines.
    J’avance mais je n’entend pas le bruit de mes grosses chaussures sur le sol ;
Je marche sur un nuage invisible.
Je voie une ranger de saints au visage de porcelaine.
Notre Dame dans son manteau d’azur, le bon saint Antoine de Padoue dans sa robe de bure.
Mon saint patron : François d’assise, ‘’Le pauvrello’’, sont regard figé vers les cieux.
            Dans un coin caché derrière un pilier, un ange me sourit avec ses beaux yeux de
Marbre (Séraphina, l’ange de mes rêveries d’adolescent).
Prêt de l’Autel auréolé par la lueur des cierges, je m’assoie sur un banc de bois.
Et là, je plonge dans une méditation profonde, que même dans une véritable, je n’aurais pu y
Parvenir.
  L’orgue diffuse un vieux gospel, le titre traduit en français, veut dire à quelque chose pré :
     « Parfois, je me sens comme un enfant perdu, sans mère loin de chez moi » !
Pourtant je ne connais pas l’anglais, mais depuis tout jeune, quand j’entends cette musique et
ses chœurs, ses vibrations pénètre ma chair, un frisson parcoure ma colonne vertébrale,
mes poils ce irisent et parfois des larmes coulent sur mon visage.
    D’un coup, toutes tournes autour de moi, et dans ma tête virevoltent le visage de Notre
Dame ; le sourire Angélique de Séraphina, le bon Saint Antoine de Padoue, le pauvre
D’Assise, l’Autel et ses bougies, la petite chapelle.
Je sens le canapé sous le poids de mon corps, j’ouvre les yeux, un rayon de soleil filtre à
Travers les persiennes.
            C’est l’heure d’aller au boulot !







Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LA CHEVALERIE DE L’ESPRIT

Ordre Martiniste des Chevaliers du Christ

Histoire authentique de la Sardine qui a bouché le port de Marseille