L'Ordre Martiniste et le dépôt du Saint Ordre
L'Ordre Martiniste et le dépôt du Saint Ordre
« Mais ce dépôt, ce saint Ordre où poussent les branches et les rameaux, comment ne pas l'annoncer
sans attendre ?
Le martinisme ressortit à l'ésotérisme judéo-chrétien qui ressortit à l'ésotérisme universel. Dans son
originalité formelle, néanmoins, dans son unité radicale et sous la multiplicité de ses avatars, le
martinisme remonte à Martines de Pasqually.
Trois grandes lumières balisent l'itinéraire du martiniste : Jacob Böhme, Martines de Pasqually et
Louis-Claude de Saint-Martin. Mais à constituer le dépôt, ont aussi coopéré Jean-Baptiste
Willermoz, l'Agent Inconnu, l'Ordre des chevaliers bienfaisants de la Cité sainte avec ses mythes
templiers et l'héritage des constructeurs gothiques ; et les grands illuminés du XVIIIe siècle, les
William Law, les Divonne, les Eckhartshausen ; et les fidèles du piétisme, surtout lors du premier
réveil (…).
Or, la perle de ce dépôt, son capital initial, c'est Martines qui l'a placée, et c'est de lui que la
tiennent les maçons écossais rectifiés et les grands profès, les théosophes chrétiens et parmi eux, les
disciples de Saint-Martin dont beaucoup appartiennent à l'Ordre Martiniste. »
R. Amadou, Préface pour « PAPUS, MARTINES de PASQUALLY », Robert Dumas Éditeur, 1976,
p. XVI.
« Mais ce dépôt, ce saint Ordre où poussent les branches et les rameaux, comment ne pas l'annoncer
sans attendre ?
Le martinisme ressortit à l'ésotérisme judéo-chrétien qui ressortit à l'ésotérisme universel. Dans son
originalité formelle, néanmoins, dans son unité radicale et sous la multiplicité de ses avatars, le
martinisme remonte à Martines de Pasqually.
Trois grandes lumières balisent l'itinéraire du martiniste : Jacob Böhme, Martines de Pasqually et
Louis-Claude de Saint-Martin. Mais à constituer le dépôt, ont aussi coopéré Jean-Baptiste
Willermoz, l'Agent Inconnu, l'Ordre des chevaliers bienfaisants de la Cité sainte avec ses mythes
templiers et l'héritage des constructeurs gothiques ; et les grands illuminés du XVIIIe siècle, les
William Law, les Divonne, les Eckhartshausen ; et les fidèles du piétisme, surtout lors du premier
réveil (…).
Or, la perle de ce dépôt, son capital initial, c'est Martines qui l'a placée, et c'est de lui que la
tiennent les maçons écossais rectifiés et les grands profès, les théosophes chrétiens et parmi eux, les
disciples de Saint-Martin dont beaucoup appartiennent à l'Ordre Martiniste. »
R. Amadou, Préface pour « PAPUS, MARTINES de PASQUALLY », Robert Dumas Éditeur, 1976,
p. XVI.
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