DANS LE BAR DE MAMIE
On y rentré par une immense porte en bois,
ajourée par une multitude de carreaux de verre, don un ou était découpé un
cercle bouché par une drôle d’hélice qui m’intrigué je l’avoue, j’ai su plus
tard qu’il servait de ventilation pour la fumée de cigarettes. (Faut dire que
l’on était en 1959 les clients avaient le droit de fumer dans les bars)
De suite à
droite en rentrant, trônait un immense comptoir en bois, sur ses flanc des
motifs en formica, derrière de grandes étagères avec un nombre incalculable de
bouteille, (faut dire que n’avais que 5 ans).
Dans son
prolongement, une longue banquette vert billard, où j’aimais bien m’allonger
quand elle n’était pas occupée par d’éventuels joueurs de cartes, (c’est là au
grand désarroi de ma mère que j’ai appris mes premiers gros mots, les adultes
avaient le droit de jurer pas moi).
Au fond tous
juste après une rangé de tables et de chaises une cabine téléphonique en bois,
que j’aurais bien transformé en cabane, (mais ça aussi c’était interdit).
Au centre
entre deux rangés de tables posé sur carrelage de losanges noir et blanc un
énorme poêle à charbon, il y avait souvent de la sciure parterre, et j’entends
la voix de ma grand-mère dire ! « François ne mais pas les pieds
dedans ! ».
Aux murs étaient
fixés de grands miroirs.
Au fond, une
porte qui donnée dans l’appartement de Mamie, A gauche, la porte qui nous
menait aux escaliers qui montaient à notre appartement.
Et souvent
j’entends la voix de ma grand-mère qui dit « François, mais pas les pieds
dans la sciure » !
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